Pourquoi reprendre une affaire dans les pays d'Europe de l'Est ?
Il y a quelques années — souvent sous la pression des clients et en particulier dans le secteur automobile — de nombreux sous-traitants ont créé des filiales dans ces pays pour bénéficier des salaires low-cost et faire fabriquer ainsi des pièces à moindre coût pour les rapatrier ensuite en France.
De nombreux ateliers ont d'ailleurs rapidement fermé, car si le dirigeant intégrait tous les frais annexes (en particulier ses déplacements et les frais de transport) et sans compter le temps passé, l'opération n'était pas aussi rentable que prévue.
Aujourd'hui, l'approche de s'implanter ou de racheter une entreprise dans ces pays n'est plus la même.
Il ne s'agit plus d'installer des ateliers de sous-traitance, mais réellement d'implanter des filiales de production mais aussi commerçiales pour bénéficier d'un marché plus dynamique qu'en Europe de l'Ouest.
En effet, selon le journal L'Expansion, alors que 1.3 % de croissance est prévu en France en 2016, la plupart de ces pays ont des taux de croissance entre 3 et 4 %.
De plus ces pays ayant été traditionnellement plus proche de l'Allemagne, les industriels sont souvent fournisseurs des entreprises allemandes.
Membre du réseau CFIE , Partners+ a lié des relations étroites avec plusieurs de ses confrères de Tchequie, Slovanie, Serbie ... qui proposent des opportunités d'acquisitions avec souvent des aides financières locales tres intéressantes.
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