En redressement judiciaire, SEAFRANCE, qui emploie plus de 800 personnes et perd quelques 30 M€ par an, a vu son plan de restructuration rejetté par la Commission Européenne, qui a jugé que le prêt de 100 M€ de la SNCF était en fait une aide d'Etat injustifiée.
Le dernier candidat en lice au rachat de SeaFrance, LOUIS DREYFUS ARMATEURS, envisage de ne reprendre que 460 salariés, de retirer un des quatre navires, et de fusionner les lignes Calais, Douvres, Dunkerque pour affronter la concurrence de l'anglais P&O.
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